Un roman à l'image de l'auteur, Jean-Pierre Pouy, tout en contradiction dès l'intitulé
Samedi 14 dans la collection Vendredi 13. le côté épicurien "non-alcoolisé", pour une fois aurait-on tendance à dire, a sa part belle et donne de petits twists, des saveurs différences au récit.Mais ce qui est très drôle c'est que l'on trouve beaucoup de points communs avec le précédent roman que j'ai lu,
Sans pitié, ni remords de
Nicolas Lebel. Un petit peu du monde l'art, beaucoup de tchatche, un enquête à tiroirs; bref tout ce que l'on aime.On connaît bien sûr la verge, la gouaille et l'humour de Jean-Pierre Pouy, mais j'avoue que dans ce roman toutes ses qualités y sont magistralement réunies. Derrière Maxime on imagine un tonton flingueur des temps modernes, mais avec le charme et les méthodes de la génération précédente : tout en subtilité, en finesse et en surprise.Un roman court et frais qui convient parfaitement à un intermède littéraire.
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