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Critique de Casmotte
A la suite d'un accident de parapente, Philippe di Bozzo devient tétraplégique. Son histoire, vous la connaissez certainement. C'est elle qui a inspiré le film Intouchables d'Olivier Nakache et Eric Toledano.
Mais si vous souhaitez retrouver la relation complice entre l'auteur et son assistant, vous risquez d'être déçu(e)s. La quatrième de couverture est bien trompeuse! En effet, ce n'est pas Abdel (Driss à l'écran) qui est mis en avant ici mais Béatrice, l'épouse de Philippe.
Alors que le film est très axé sur la relation entre un handicapé physique et un handicapé social qui se rencontrent et s'entraident, le livre dresse le portrait d'une femme courageuse et aimante. Une femme qui ne parvenait pas à avoir d'enfant et qui a soutenu son mari tout en luttant contre un cancer du sang.
Plus que la douleur due à son handicap, Philippe di Pozzo nous décrit son chagrin suite à la mort de sa femme. Son chagrin et sa solitude.
La seconde partie du livre, ajoutée suite au succès du film, est plus optimiste. On y retrouve Abdel et certaines de ses frasques mais je dois avouer que son attitude arrogante et violente et son discours sur les femmes me l'ont rendu assez antipathique.
Un livre qui se lit facilement mais qui, même s'il est un témoignage intéressant, ne m'a pas enthousiasmé comme je l'espérais.
Mais si vous souhaitez retrouver la relation complice entre l'auteur et son assistant, vous risquez d'être déçu(e)s. La quatrième de couverture est bien trompeuse! En effet, ce n'est pas Abdel (Driss à l'écran) qui est mis en avant ici mais Béatrice, l'épouse de Philippe.
Alors que le film est très axé sur la relation entre un handicapé physique et un handicapé social qui se rencontrent et s'entraident, le livre dresse le portrait d'une femme courageuse et aimante. Une femme qui ne parvenait pas à avoir d'enfant et qui a soutenu son mari tout en luttant contre un cancer du sang.
Plus que la douleur due à son handicap, Philippe di Pozzo nous décrit son chagrin suite à la mort de sa femme. Son chagrin et sa solitude.
La seconde partie du livre, ajoutée suite au succès du film, est plus optimiste. On y retrouve Abdel et certaines de ses frasques mais je dois avouer que son attitude arrogante et violente et son discours sur les femmes me l'ont rendu assez antipathique.
Un livre qui se lit facilement mais qui, même s'il est un témoignage intéressant, ne m'a pas enthousiasmé comme je l'espérais.
