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Critique de Piotelat
Le récit s'ouvre sur un amphithéâtre de l'université d'Orsay, le 13 mai 1968. On y découvre Alexandre Grothendieck.
La plume de Yan Pradeau peint des instants, des échanges, nous donne l'impression d'être là, un peu dans le secret de la création de l'IHES ou du refus de Grothendieck d'aller chercher la médaille Field à Moscou. On découvre l'histoire des mathématiques, le milieu universitaires et ses luttes de pouvoir, mais aussi le reste, c'est-à-dire la vraie vie avec le militantisme. Il épluche les 900 pages de "Récoltes et semailles", preuve du travail de titan qu'a dû nécessiter la rédaction de cette bibliographie romancée.
Lien : http://zazaa.blogspot.fr/201..
La plume de Yan Pradeau peint des instants, des échanges, nous donne l'impression d'être là, un peu dans le secret de la création de l'IHES ou du refus de Grothendieck d'aller chercher la médaille Field à Moscou. On découvre l'histoire des mathématiques, le milieu universitaires et ses luttes de pouvoir, mais aussi le reste, c'est-à-dire la vraie vie avec le militantisme. Il épluche les 900 pages de "Récoltes et semailles", preuve du travail de titan qu'a dû nécessiter la rédaction de cette bibliographie romancée.
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