Le rock débarque dans le Disque-Monde! Avec son humour bien à lui,
Pratchett nous fait découvrir le quotidien d'un groupe de musique multi-ethniques qui découvre et s'adonne à la musique des "rocs" : hystérie, groupies, cuirs, agents véreux et motos sont de sortie et avec ça une terrible magie... du moins assez forte pour transformer les Hauts Lieux de l'UI en amateurs de rocs compulsifs, au grand désespoir de mon chouchou parmi tous, Ridculle!
En parallèle la
Mort a de nouveau une crise existentielle. On devine très vite pourquoi même si la raison n'est dévoilée que sur la fin. Et c'est sa petite-fille, Suzanne, qui se retrouve à devoir assurer l'intérim tandis que la
Mort cherche l'oubli frénétiquement. Un intérim qui n'est pas sans accroc... Mais heureusement secondée de manière experte
par la Mort au Rat qu'on retrouve et qui est difficilement compréhensible, le corbeau, un volatile d'une grande intelligence et interprête, et le rochon Albert! .
16e tome des Annales et 3e tome du cycle de la
Mort, l'ouvrage est plaisant avec ses ressorts comiques habituels. le sourire est toujours là. Mais la frustration aussi. Il semble que dans chaque ouvrage sur la
Mort, la
Mort elle-même ne soit que peu présente... Un peu paradoxal tout de même. Quant à l'histoire, elle a un goût de déjà-vu :
Pratchett semble recycler ses recettes et même les fusionner, dans le cas présents! *
Par conséquent agréable en tant que suite mais sûrement pas le meilleur des tomes!
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Mortimer et les Zinzins!
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Pratchett
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