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Critique de Meps
De retour sur le Disque Monde, il y avait bien trop longtemps que je l'avais déserté. Un très bon tome où j'ai trouvé certains éléments présents dans le jeu vidéo Discworld II qui m'aura fait connaître la saga (notamment le groupe de rocs (sans faute) et les mendiants)
Ce qui fait toute la force de ce tome est sans doute qu'il regroupe plusieurs des héros habituels. Si on peut plus facilement le classer dans le cycle de la Mort, on y retrouve aussi les membres de l'Université invisible ou les agents du Guet. Il ne manquerait finalement que les Sorcières et Rincevent pour que la galerie soit complète. le thème de la musique est bien inspirant pour Pratchett qui s'est follement amusé avec le nom des groupes. On ne serait pas étonné si on apprenait qu'il était réellement fan de rock car on ne parle réellement bien que de ce qu'on aime. Comme d'habitude pour les meilleurs opus, une histoire éclatée entre plusieurs protagonistes que l'on suit en simultané dans différents lieux et qui finissent par se rejoindre dans un final haletant. Quelques phrases percutantes, une fine observation de notre société à travers le miroir pas si déformant de la fantasy (la critique de l'administration via les guildes, les adolescents rebelles que ce soit dans les groupes de rocks ou dans l'école de Susanne) et enfin un fond plus philosophique et profond sur le rôle de la musique dans l'humanité.
Oui, tous les ingrédients sont bien là pour un bon Pratchett, je m'amuse à les cocher pour faire mon petit classement perso des meilleurs tomes. Celui-ci est dans la top-list vous pouvez y foncer direct ... après une petite initiation avec les premiers, ça permet de ne pas être perdu avec certaines références internes à l'univers.
Ce qui fait toute la force de ce tome est sans doute qu'il regroupe plusieurs des héros habituels. Si on peut plus facilement le classer dans le cycle de la Mort, on y retrouve aussi les membres de l'Université invisible ou les agents du Guet. Il ne manquerait finalement que les Sorcières et Rincevent pour que la galerie soit complète. le thème de la musique est bien inspirant pour Pratchett qui s'est follement amusé avec le nom des groupes. On ne serait pas étonné si on apprenait qu'il était réellement fan de rock car on ne parle réellement bien que de ce qu'on aime. Comme d'habitude pour les meilleurs opus, une histoire éclatée entre plusieurs protagonistes que l'on suit en simultané dans différents lieux et qui finissent par se rejoindre dans un final haletant. Quelques phrases percutantes, une fine observation de notre société à travers le miroir pas si déformant de la fantasy (la critique de l'administration via les guildes, les adolescents rebelles que ce soit dans les groupes de rocks ou dans l'école de Susanne) et enfin un fond plus philosophique et profond sur le rôle de la musique dans l'humanité.
Oui, tous les ingrédients sont bien là pour un bon Pratchett, je m'amuse à les cocher pour faire mon petit classement perso des meilleurs tomes. Celui-ci est dans la top-list vous pouvez y foncer direct ... après une petite initiation avec les premiers, ça permet de ne pas être perdu avec certaines références internes à l'univers.
