Ca faisait longtemps que j'avais quitté les Annales du Disque-Monde et
Terry Pratchett ! L'occasion d'une lecture commune avec Tatooa et Foxfire m'a permis de le retrouver avec plaisir. Dans ce dix-huitième tome, j'ai retrouvé notre tri... enfin, duo de sorcières : Mémé Ciredutemps et Nounou Ogg. Bon, c'est quand même moins bien à deux qu'à trois, il manque quelque chose. Mémé voit bien qui pourra faire l'affaire mais celle-ci préfère faire chanteuse d'opéra à Ankh-Morpork. Dans ce cas, il vaut mieux essayer de la convaincre, sans forcer...
Masquarade, sortez vos masques ! Non, pas ceux-là, les masques d'opéras, ceux qui cachent les yeux ou le visage. Masquarade fait référence au fantôme de l'opéra de
Gaston Leroux, un classique du XXe que je n'ai pas lu. J'ai essayé de saisir les grands axes du roman en trouvant un résumé sur le net. On retrouve les personnages du précédent avec par exemple Christine, la chanteuse, qui dans le roman de
Terry Pratchett, a vraiment une voix merdique et se fait doubler par Agnès, la sorcière à la vocation de chanteuse. J'ai bien aimé ce tome en comparaison à d'autres car les intrigues ne se multiplient pas et reste assez simple, ça convenait tout à fait pour mon état d'esprit actuel. J'ai encore beaucoup ri à l'humour de
Pratchett : j'ai plaint la pauvre Agnès pour son engagement non récompensé, le caractère incroyable de Mémé Ciredutemps, on entrevoit même un peu La Mort et le bibliothècaire... !
Prête à retrouver cet univers farfelu avec Pieds d'argile ! (j'ai déjà vu que le tome 20 est le Père Porcher avec La Mort !!)
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