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Critique de ibon


La balade continue sur le vaste Disque-monde avec de nouveaux personnages. Ici, point de Rincevent, de Deuxfleurs, de coffre à mille pattes ou d'autres héros qui apparaissaient lors des deux premiers tomes dans une valse à mille temps.

La farce commence quand un vieux mage pense transmettre ses pouvoirs par l'intermédiaire de son bourdon au huitième fils de la famille du forgeron de Trou d'Ucq... Car la succession s'opère chez les mages de huitième fils en huitième fils. Mais il apparaît que c'est une fille qui reçoit ce don, ce qui constitue une incongruité dans la transmission de ces pouvoirs magiques.

La petite Esk se voit ainsi dotée de pouvoirs qui la dépassent et la mettent en danger d'autant plus que l'université qui forme les mages est interdite aux filles. Ainsi commence le parcours d' obstacles de la longue éducation d'une petite fille douée. Heureusement, la sorcière Mémé Ciredutemps, sa nourrice, veille sur elle.

Le début de ce récit ne manquait pas d'idées ni de tonicité, mais il s'essouffle, à mon avis, à mi-parcours pour heureusement rebondir dans les dernières pages .

Malgré cette légère déception, je recommande toutefois ce troisième tome de la célèbre saga de fantasy burlesque qui traite tout de même, l'air de rien, d'un sujet sérieux: la différence d'accès à l'éducation selon le sexe où comment les femmes doivent-elles se battre pour accéder aux plus hautes fonctions!
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