La fille du Luthier, tome 1 : Le 13ème Alto

Ça faisait un petit moment que ce livre de ma PAL me faisait de l'oeil et je dois avouer que sa magnifique couverture a fini par me faire craquer !

Eartha, la superbe héroïne à la chevelure rouge, vit dans un monde où toute forme d'art et de liberté a été prohibée. Les enfants, arrachés à leurs parents, sont emmenés dans des orphelinats où leur mémoire subit des "nettoyages".

Dans ce roman, nous suivons donc les aventures de la jeune fille. Accompagnée de son chat Gremlin, elle tente par tous les moyens de retrouver la trace de son père.

Entre monde dystopique, magie, musique et course contre la montre, Sienna Pratt nous embarque dans une sorte de chasse au trésor.

J'ai adoré l'alternance des points de vue (il y a même un chapitre dans lequel la parole est donnée au chat, j'ai trouvé ça trop cool).

J'ai aimé aussi le fait que l'on passe d'une époque à l'autre, ça apporte un super rythme au roman.
Puis, l'histoire en elle-même est bien menée : le jeu de piste, le monde des luthiers, le soupçon de magie. Je peux vous dire que l'originalité est au rendez-vous !

Seul petit bémol : le roman est un peu court à mon goût. J'aurais aimé qu'il y ait plus de descriptions et d'approfondissements sur plusieurs personnages… Mais je pense que certains lecteurs ne seront pas du même avis que moi :-)

En bref, une super lecture dont il me tarde de connaître la suite !

Nous allons suivre Eartha, elle est placée dans un orphelinat insalubre. le jour de ses quinze ans, son chat Gremlin va lui apporter un message de son père, le Luthier. Eartha va donc se retrouver emporté dans un jeu de piste historique. Mais le danger n'est pas loin, elle va devoir faire attention.

Je découvre Sienna avec cette trilogie, un mélange de dystopie et d'urban fantasy. Un genre que je lis beaucoup mélangé à un que je lis peu.

Je me suis laissé emporter dans l'histoire, un voyage à travers le temps. A chaque début de chapitre, bous zvons le lieu et la date de noté. Cela évite toute confusion.

J'ai beaucoup aimé suivre Eartha à travers cette aventure.

La plume de Sienna est fluide et agréable à lire. L'intrigue est bien menée, et l'idéal c'est d'avoir les trois tomes pour les lire à la suite !

J'ai passé un bon moment avec cette trilogie !

Quand l'art devient une interdiction...


Ici tout les enfants ont été séparés de leurs parents pour les parquer dans un orphelinat délabré et leur enlever leurs souvenirs de leur vie d'avant. En effet, toutes les distractions pour les travailleurs sont abolies et désormais plus rien ne retient le gouvernement de faire travailler les parents nuit et jour. Sauf le père d'Eartha, Justin, qui lui envoi des petits mots et lui demande de venir le rejoindre, lui qui a réussi a s'échapper de cet enfer. Au coeur de son périple, l'adolescente va devoir puiser dans ses réserves et surtout découvrir son histoire. Mais attention aux drones et caméras qui surveillent la ville, car désormais tout est sous contrôle.
En parallèle nous suivons l'histoire d'un maître luthier qui a fais partie d'un ordre qui ne cesse de maintenir l'art dans le monde. Les deux histoires sont liées mais comment et surtout pourquoi.


J'ai adoré ce roman qui se lit très bien et vite. En effet, ses chapitres sont très courts ce qui fait que la lecture est dynamique, la plume est addictive et fluide ce qui vraiment nous entraîne dans les aventures de notre ado.
Le fait de changer de point de vue à chaque chapitre n'est pas étrangé à la fluidité du récit et nous permet de rester intrigué tout le long de notre lecture.
Les personnages sont intéressants même si j'ai préféré les passages avec Antonio et Andrea plutôt qu'avec Eartha que j'ai trouvé agaçante à la fin.
Je n'ai pas réussi à m'attacher à elle malgré le fait qu'elle soit tout de même débrouillarde, que l'on peut compter sur elle pour aider les plus faibles. Je pense que la partie où elle rejoins une amie de son père a vraiment fait pencher la balance.
J'ai adoré l'intrigue qui mêle dystopie et fantasy avec une touche musicale ainsi que magique. Ce savant mélange de tout est parfaitement emboîté et cela donne plus de coffre à cette saga.
J'aurai tout de même aimer en savoir plus sur le pouvoir en place, comment est il arrivé et qui est à sa tête.
À contrario j'ai trouvé que la fin n'était pas du même acabit que le roman en lui même, elle m'a paru expéditive comme si il fallait vite passer à autre chose. Et c'est bien dommage car en rajoutant quelques pages nous aurions pu avoir une belle fin ouverte sur le tome 2.


En bref, un premier tome intéressant qui ouvre la porte à la magie dans le second tome.

J'ai envie de commencer avec une métaphore qui représente bien mon avis. J'ai la sensation de m'être offert une bonne séance de cinéma. Un fauteuil confortable (la plume agréable), avec des friandises à se mettre sous la dent (la dystopie bien ficelée, comme j'aime, plus axée fantastique que fantasy, la confrérie secrète et les personnages historiques) pour un film qui transporte et fait oublier notre réalité (l'intrigue prenante avec son mystère à élucider et son ambiance oppressante).

L'intrigue a un rythme agréable, avec des chapitres qui ne sont pas trop longs. J'avoue trouver la clôture un peu rapide mais cela ne gâche rien. Un certain suspense reste présent à chaque instant. Je suis captivée et l'alternance entre les 2 époques ajoute une touche addictive.

Il y a même des notes de bas de pages, pour nous aider sur les termes pas forcément très connus. C'est une intention que j'apprécie, personnellement. On sent qu'il y a un travail de recherche derrière l'écriture, notamment sur le travail de luthier. C'est très intéressant.

C'était une bonne séance de lecture !

Autant vous dire tout de suite que cette auteure est parvenue a me happer dans son histoire, d'une part par cette intrigue superbement ficelée mais aussi par sa plume riche, fluide et addictive.

Je dois bien avouer que ce type de roman n'entre pas tout à fait dans ce que je lis habituellement mais les thèmes abordés par l'auteure m'ont immédiatement tenue en haleine. On y parle de régimes autoritaires, de répression, d'annihilation culturelle ainsi que de créativité et de musique.

🎶 A lecture de ce premier tome, je découvre Eartha. Eloignée de son père par décision du gouvernement elle tente de garder des souvenirs de son passé malgré les manipulations répétées du régime. Placée dans un orphelinat, elle parvient à tenir le coup dans cet endroit lugubre grâce à la présence de son ami Alec dont elle prend soin.

🎶 Son envie de retrouver son père sera bien plus forte que tout le reste alors elle prendra la fuite accompagnée par son chat Gremlin. Nous la suivrons tout au long du récit dans sa quête de réponse. Nous entrons alors dans l'intrigue et faisons des bons dans le temps pour reconstituer avec avidité le puzzle. J'ai adoré les descriptions faites par l'auteure des endroits où les personnages se trouvent. Vous avez déjà eu ce sentiment d'être au même endroit que le personnage ? de visualiser l'atmosphère d'une époque ? de pouvoir sentir les odeurs, entendre les bruits que l'auteure a voulu nous transmettre ? Pour ma part, j'adore vivre ce genre d'expérience et croyez-moi, dans ce livre j'ai été servie. 😀

🎶 J'ai apprécié la précision avec laquelle @siennapratt m'a fait découvrir le monde passionné et perfectionniste des Luthiers, sans parler de la description fine du processus de création d'un instrument de musique ce qui m'a d'ailleurs rapidement intriguée.🧐(heureusement l'auteure a répondu à mes interrogations) 😉.

🎶 Eartha n'est clairement pas au bout de ses peines et le lecteur non plus à vrai dire (oui, oui, j'ai eu quelques frayeurs 😅) mais sa détermination évidente lui permettra de trouver quelques réponses cruciales. La fin de ce livre m'a fait frissonner et a provoqué une certaine exaltation car de mon point de vue l'auteure est parvenue à mettre au-devant de la scène la force de la culture en générale sur les émotions des hommes.

🎶 Enfin, je m'égare… Si vous voulez savoir si Eartha parviendra à trouver les réponses à la question qui l'a taraude le plus, eh bien, je n'ai qu'un conseil à vous donner : lancez-vous !

🎶 Une chose est sûre, dans ce livre il n'y a pas de fausse note 😊. (Oui, je sais elle est facile mais tellement appropriée !)

Je remercie l'autrice Sienna Pratt de m'avoir permis de découvrir le premier tome de sa saga "La fille du luthier".
C'est principalement la couverture qui a attiré mon attention. Je la trouve vraiment très belle et quand j'ai lu le résumé, qui parle de musique, d'un univers dystopique et d'un chat, j'ai eu tout de suite envie de découvrir cette histoire.

Dès les premières pages, nous découvrons un univers post-apocalyptique où tout art ou loisirs ont été banni. Les pauvres ont été réduits au travail forcé. Afin de d'inoculer cette doctrine aux plus jeunes, de nombreux enfants ont été séparés de leurs parents pour être placé dans des orphelinats insalubres où ils subissent des effacements qui leurs font perdre leurs souvenirs d'avant l'orphelinat.
Eartha, fille de luthier, a été placé dans un de ces orphelinats. Elle tente tant bien que mal de conserver ses souvenirs. Un jour, Gremlin, son chat lui apporte un message de son père lui demandant de quitter l'orphelinat. Commence alors pour elle, une fuite et un jeu de piste où elle va devoir déjouer la surveillance des caméras et des drones qui quadrillent la ville...

Je suis assez déçu par cette lecture.
Dans cette histoire, on suit deux temporalités. On suit Eartha à son époque et on suit Antonio en 1655 qui va devenir l'apprenti d'un grand luthier. J'ai beaucoup aimé toute la partie du roman qui parle du métier de luthier et de la création d'un instrument. J'ai trouvé cela vraiment très intéressant.

Pour ce qui est de l'univers dystopique dans lequel vit Eartha, j'ai eu l'impression de seulement le survolé pendant ma lecture. Ca manque cruellement de descriptions et de détails pour que l'on puisse s'immerger dans cette histoire. J'aurais aimé découvrir plus amplement l'orphelinat et le monde dans lequel évolue Eartha.

A peine les dernières pages de lus, que j'ai l'impression d'être passé complètement à côté de cette histoire. Je n'ai pas trouvé cette lecture transcendante même s''il y a de très bonne idées comme celle de mélanger la dystopie, la musique et la magie.
J'ai aimé les passages qui parlent de la musique, mais après le jeu de piste que suit d'Eartha m'a paru beaucoup trop facile.

Niveaux personnages, je ne suis pas particulièrement attaché à eux. J'ai trouvé qu'ils manquaient de profondeur et de personnalité. On sait très peu de choses sur les différents personnages que l'on rencontre et du coup, cela ne les rend pas attachants.

En bref, un premier tome avec un univers pas assez approfondit et une histoire qui ne m'a pas particulièrement marquée. Une déception pour moi.

Lien : https://les-livres-de-nancy...

Ils veulent supprimer l'accès au monde de l'Art. Ils veulent supprimer les mémoires des enfants arrachés à leurs parents. Ils veulent répandre la peur...
Eartha ne l'entend pas de cet oreille...
Vous retiendrez votre respiration en suivant la fuite de cette fille. La fille du luthier coiffée de ses magnifiques cheveux longs rouges accompagnée de son chat, Gremlin. Guidée par la recherche de son père et sa quête de vérité, vous resterez en haleine lors de ses péripéties, à deux doigts de se faire coincer, parfois...
Aussi, vous aurez le loisir de plonger dans des intrigues passées mêlant une confrérie, des secrets, des luthiers et toujours au coeur ces précieux instruments de musique.
Bien entendu, tout au long, vous découvrirez les différents liens entre ce passé et les récentes découvertes d'Eartha...

Vous serez projetés dans le monde magique des notes jouées par un beau violon cuivré au rythme de Morrisson's Jig.
Aussi, ici et là, vous trouverez quelques références à notre Petit Prince à la chevelure dorée.

Sienna réussira, avec brio, à vous entraîner dans cette aventure avec une plume très délicate et un vocabulaire spécifique (bien noté à la fin, ne vous en faites pas!). C'est tellement bien écrit que vous ne parviendrez pas à décrocher tellement c'est addictif.

Je vous conseille cette lecture en toute circonstance. Peut-être même en étant nomade pour vous rapprocher de la fille du luthier.

Une belle expérience livresque qui ne demande qu'à engloutir les prochaines révélations du deuxième tome...

Ce livre alterne deux trames narratives, celle d'Eartha dans un XXème siècle très différent du nôtre, et celle d'Antonio à Crémone au XVIIème siècle. J'ai beaucoup aimé cette alternance d'époques et de personnages, qui est très bien réalisée et qui nous donne envie de dévorer le livre encore plus vite !

Je suis assez difficile quand je lis des livres à narrateurs multiples. Ca m'agace de ne pas savoir qui fait quoi et quand. Heureusement, ici ce n'est pas le cas. Chaque chapitre reprend le narrateur, le lieu et l'époque, impossible de se perdre.

Les ambiances sont d'ailleurs très différentes. Sienna arrive à dépeindre aussi bien le Confluent moderne, sombre et déprimant que la joyeuse Italie de la Renaissance. Peu importe l'époque et le lieu, l'immersion est facile et naturelle. On déjoue les drônes, on se cache avec Eartha, on découvre, on travaille le bois avec Antonio.

J'ai également apprécié découvrir les personnages. Eartha, Antonio, Andrea, Alec… chacun avec ses forces, ses faiblesses. Je les ai trouvé assez cohérents. Je regrette toutefois qu'Alec n'ai pas eu un rôle plus important que celui d'accentuer l'horreur et de contextualiser l'histoire d'Eartha.

Et que dire de la quête ? J'adore ce jeu de piste géant, à la rencontre de son histoire, de l'Histoire, de découvertes en découvertes.

En fait, je n'ai qu'un seul regret… il faut attendre le tome deux !
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Me voici enfin avec mon retour de lecture pour ce roman tellement particulier, « La Fille du Luthier, tome 1 : le 13ème Alto », de Sienna Pratt. J'ai découvert l'autrice un peu par hasard, suite à une recommandation de lecture d'une amie via les réseaux. Mais wahoo ! Quelle découverte ! J'étais loin de m'attendre à cet univers qui allait me tendre les bras une fois le livre commencé.

On arrive dans un univers post-apocalyptique, une dystopie, et autant dire que je n'en ai lu que très peu ; pourtant, chaque fois que j'ai exploré ce style de roman, j'ai fait des découvertes incroyables. Dans le monde d'Eartha, fille de luthier, on découvre un monde où l'art et les loisirs ont été bannis. Un monde impitoyable où l'on trouve « normal » de séparer les enfants de leurs parents, pour leur faire subir ce que l'on peut appeler « un lavage de cerveau ». Ce n'est pas rien, n'est-ce pas ?

L'histoire est à double vue, celle d'Eartha et d'Antonia dans les années 1600. Un apprenti luthier qui m'a fait découvrir ce magnifique métier. J'imagine les heures de recherche que cela a dû représenter, à moins que l'autrice en soit passionnée ? C'était tellement réaliste que j'ai eu l'impression d'être dans un coin de l'atelier, à les regarder apprendre. C'était passionnant, je dois bien l'admettre.

L'univers d'Eartha est bien plus sombre, et clairement, on ne nous en dévoile pas assez, mais sachant qu'il y a encore deux tomes à venir, j'imagine que le meilleur reste à venir.

Comme dans toutes mes chroniques, je n'aime pas dévoiler de détails concernant l'histoire qui vous attend, le spoil ce n'est pas mon truc, mais si je peux vous dire une chose, c'est que la plume de l'auteur m'a littéralement fait voyager. Je n'ai eu aucun mal à imaginer son univers, à me mettre à la place de l'héroïne. La plume de l'auteur est plus qu'agréable, elle est vibrante comme la musique présente dans ce premier tome.

Pour conclure, que vous soyez fan ou non de la dystopie, je pense que « La Fille du Luthier » est à découvrir. Je me plongerai, dans quelques lectures, dans la suite des aventures d'Eartha. Quelque chose me dit que pas mal de surprises m'attendent
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Ce premier tome est un peu noir, laissant peu de place à l'espoir. J'y ai découvert un monde dépourvu d'art, et j'ai aimé cette mise en bouche avec une héroïne jeune et combative
L'ambiance pesante annonce la couleur mais la quête de l'héroïne nous transporte. On s'attache facilement à elle, à cet espoir de retrouver son père malgré un gouvernement dictateur et intrusif. Très bon début pour cette trilogie