Citations sur 50 histoires de serial killers (27)
[Richard Ramirez]
« Quelques tueurs en série font à petite échelle ce que le gouvernement fait à grande échelle. Ce sont des produits de la situation actuelle et c'est une situation assoiffée de sang. Même les psychopathes ont des émotions si vous creusez suffisamment, mais une fois encore, peut-être qu'ils n'en ont pas. »
[Donald Gaskins]
Cette violence, proférée à son égard, n'a pas l'effet escompté. Au lieu de le faire souffrir, les coups lui procurent du plaisir, un plaisir physique pervers, au point qu'il en a une érection.
[Ted Bundy]
« D'un autre côté, des gens aux bonnes manières, très convenables, ont condamné la conduite de Ted Bundy. Cependant ils se promènent devant des rayons de magasin pleins de ces mêmes choses qui envoient de jeunes gosses sur la pente qui est celle de Ted Bundy. Ce qui me fait peur et m'épouvante, Docteur, c'est ce que je vois à la télévision. Les saletés qui entrent dans les foyers aujourd'hui n'auraient pas été montrées dans des spectacles pour adultes sous la mention "X" il y a vingt ans. »
[Ted Bundy]
De plus en plus solitaire, il s'éloigne du reste de la famille, préférant sa propre compagnie à celle des autres. Il ne participe plus aux activités familiales et, à l'école, reste replié sur lui-même. Devenu le souffre-douleur des plus grands, il se laisse faire sans rien dire. De timide et gauche, il devient passif et apathique. Les années se suivent et se ressemblent pour ce petit garçon de plus en plus distant.
Contre toute attente, lorsqu'il entre au lycée, son comportement change du tout au tout. L'adolescent timide se transforme en leader charismatique et charmant.
[Dennis Andrew Nilsen]
_ Pourquoi avez-vous fait ça ?
_ J’espérais que vous alliez me l'expliquer.
[Richard Ramirez]
Des milliers d'enfants sont battus et maltraités et ne deviennent pas pour autant des êtres violents ou psychopathes. Ce sont les émotions refoulées combinées à des déviances psychologiques, elles-mêmes associées à un besoin de domination qui les façonnent.
[Ted Bundy]
« Au fond, j'étais une personne normale. J'avais de bons amis, je vivais une vie normale. Sauf pour cette seule part, petite, mais très puissante, très destructrice que je gardais, très, très secrète.
Il faut que les gens réalisent que je n'étais pas une brute, je n'étais pas un pilier de bar. Les personnes comme moi ne sont pas des monstres nés. Nous sommes vos fils, et nous sommes vos maris, et nous avons grandi dans des familles normales. »
[Ted Bundy]
« Je luttais contre un comportement criminel et violent à cause de fortes inhibitions pour lesquelles j'avais été conditionné dans mon entourage, dans ma paroisse, dans mon école. »
[Ted Bundy]
« Tout est arrivé par étape, graduellement. D'abord je suis devenu un fervent adepte de la pornographie, puis j'ai glissé. Je voulais voir des choses toujours plus violentes, plus explicites, plus descriptives. Comme une drogue, vous conservez une excitation insatiable jusqu'à ce que vous atteignez le point où la pornographie ne peut aller plus loin. Vous atteignez ce point où l'on saute le pas quand vous vous demandez si le fait de passer à l'acte, à ce moment-là, vous apportera plus de plaisir que seulement lire et regarder. »
[Ted Bundy]
À travers toutes ses victimes, Ted Bundy cherche son idéal féminin qu'il avait rencontré en la personne de Stephanie Brooks.