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Critique de jimetdalva


Il y a des héros de polars dont on devient très rapidement fan, c'est le cas du froid, raffiné et intelligent inspecteur Pendergast. Alors que le lecteur l'avait laissé pour mort emmuré à la fin du roman « le Violon du Diable », il était évident qu'un tel personnage ne pouvait mourir et c'est avec un énorme plaisir que les aventures se poursuivent avec dans ce roman, non pas un Pendergast, mais deux voire plus si on compte la grande tante internée dans un asile pour assassins !
Aloysius lutte ici contre son frère Diogéne qui a décidé de toucher à tous ceux pour qui son frère a montré des signes d'affection. C'est une course contre la montre, que Diogène mène avec un temps d'avance ; il n'hésite pas non plus à laisser des victimes avec des signes évidents de souffrance sur son parcours. Aloysius dispose d'une date (le 28 janvier. mais de quelle année ?) et surtout de l'aide de son ami d'Agosta pour essayer d'enrailler les gènes meurtriers des membres de sa famille.
Le suspens est maintenu de pages en pages, on retrouve tous les personnages auxquels on s'était attaché dans les épisodes précédents et même s'il semble que la mort les épargne un peu trop facilement, on s'en réjouit ! Une fois , ce tome refermé, on n'a que la hâte d'ouvrir le suivant, « le livre des trépassés » car Pendergast se trouve encore dans une position bien inconfortable !



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