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Critique de Fredo_4decouv


Quel plaisir de retrouver l'un de mes personnages préférés, mis en « scène » par deux de mes auteurs préférés, c'est-à-dire l'agent Aloysius Pendergast sur une histoire de Douglas Preston et Lincoln Child.

J'ai eu l'agréable surprise d'apprendre, depuis que j'ai terminé la lecture de ce roman, qu'il était le premier d'une trilogie. Nous retrouverons donc Pendergast dans deux autres livres, Dance of Death et dans la conclusion, Book of the Dead.

Le Violon du diable revient quelques instants sur l'existence du frère de Pendergast, qui l'on peut dire est son double maléfique. Il se doit de mettre un terme à ses agissements et cela devrait avoir lieux dans ces deux prochaines histoires…
Mais revenons un instant sur celle-ci.

Pendergast revient à New York, prêter main forte à un autre personnage que l'on connaît bien dans l'univers de Preston/Child, le sergent Vincent d'Agosta, que l'on n'avait pas revu depuis Relic et sa suite, le Grenier des Enfers.
Quel plaisir de suivre nos deux compères déguster leurs mets favoris en compagnie du compte Fosco ou de les voir partir à Florence à la rencontre de la police local et de savourer un expresso digne de ce nom !!!

Un régal toujours de lire les usages et les manières qui font de Pendergast un personnage à part. Un véritable Sherlock Holmes des temps moderne aux us et coutumes qui font de lui un véritable extra terrestre aux yeux de ses comparses.
La galerie de personnages qui gravitent donc autour de nos héros est toujours aussi passionnante et il devient très difficile de refermer le livre.

Les rares choses qui me gênent sont encore une fois le mauvais choix du titre français, qui en dit beaucoup trop sur l'intrigue puisque « l'apparition » du violon n'apparaît que très tardivement dans l'histoire, à plus de la moitié du livre… La quatrième de couverture en dit beaucoup trop aussi, je vous invite donc à ne pas trop y laisser traîner vos yeux dessus…
Il est bien dommage de ne pas avoir conserver le titre original, ou tout du moins de ne pas l'avoir utiliser dans un titre en français puisque Brimstone veut dire Soufre, comme l'odeur de soufre que les victimes sentent avant de mourir dans d'horribles souffrances…

Les dernières pages du roman sont incroyablement intenses et il est alors très difficile de se dire qu'il nous faudra attendre encore quelques mois avant d'en lire la suite…

Un ravissement donc pour moi, beaucoup de plaisir quoi ! comme vous pouvez le constater, que je vous invite à partager vous aussi dès aujourd'hui en vous ruant sur ce livre.
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