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Critique de MarjorieD
En 1576, alors que Venise est ravagée par une épidémie de peste, deux fringants jeunes Français, l'un étudiant en droit, l'autre en médecine, recueillent, par hasard, cette confession du Titien mourant : deux ans plus tôt, un meurtre atroce a été commis sans que l'on ne découvre jamais son ou ses auteur(s). Or, le Titien y a non seulement assisté mais l'a aussi peint sur une de ses toiles, y désignant le(s) assassin(s). La charge incombe donc à Virgile et Pierre de faire la lumière sur cette affaire. Assistés de la fille du Tintoret, Marietta, et de Palma le jeune, ils mèneront l'enquête qui les conduira au-delà des portes ténébreuses du monde de l'alchimie.
Comme le tableau de Vermeer, «La jeune fille à la perle», avait inspiré à Tracy Chevalier son (magnifique) roman, « le supplice de Marsyas » à inspiré le sien à Eva Prud'homme. J'aimais beaucoup l'idée de base et ce fut pour moi… une franche déception !
Le manque de crédibilité, défaut majeur du roman, dû à des personnages (tant réels que fictifs) inconsistants, des dialogues artificiels, des situations improbables et une narration alourdie par la démonstration constante que fait l'auteure de son érudition, m'a rendu cette lecture pénible.
Ce qui sauve ce récit du naufrage, et si l'on passe outre les défauts précités, c'est son intrigue rocambolesque que j'ai trouvée bien menée et la grande imagination dont a fait preuve l'auteure, ainsi que d'un certain culot (je ne vous dis pas pourquoi car ce serait vous révéler le fin mot de l'histoire). Eva Prud'homme, qui est meilleure historienne que romancière, m'a donné l'envie d'approfondir la vie et l'oeuvre du Titien et m'a intéressée à l'alchimie. Je n'ai donc pas tout à fait perdu mon temps.
Ceci n'est, bien sûr que mon avis…
Comme le tableau de Vermeer, «La jeune fille à la perle», avait inspiré à Tracy Chevalier son (magnifique) roman, « le supplice de Marsyas » à inspiré le sien à Eva Prud'homme. J'aimais beaucoup l'idée de base et ce fut pour moi… une franche déception !
Le manque de crédibilité, défaut majeur du roman, dû à des personnages (tant réels que fictifs) inconsistants, des dialogues artificiels, des situations improbables et une narration alourdie par la démonstration constante que fait l'auteure de son érudition, m'a rendu cette lecture pénible.
Ce qui sauve ce récit du naufrage, et si l'on passe outre les défauts précités, c'est son intrigue rocambolesque que j'ai trouvée bien menée et la grande imagination dont a fait preuve l'auteure, ainsi que d'un certain culot (je ne vous dis pas pourquoi car ce serait vous révéler le fin mot de l'histoire). Eva Prud'homme, qui est meilleure historienne que romancière, m'a donné l'envie d'approfondir la vie et l'oeuvre du Titien et m'a intéressée à l'alchimie. Je n'ai donc pas tout à fait perdu mon temps.
Ceci n'est, bien sûr que mon avis…
