(...) Google vous flique sur le net, vend vos données personnelles, bref, c'est Big brother chez les marchands du Temple. Avec Facebook, Amazon et compagnie, ils nous préparent un drôle de meilleur des mondes. Voltaire, Huxley, revenez, ils deviennent fous ! Du coup, je suis chez Qwant, un moteur de recherche franco-européen a priori respectueux de mes données.
La question est d'ailleurs quasi darwinesque : le con naît-il con, ou le devient-il petit à petit au contact de ses congénères, au fil de l'éducation qu'il reçoit ? Existe-t-il une explication rationnelle à la lente évolution vers la connerie ? Devient-on con pour s'adapter à une pratique majoritaire, pour survivre ?
La justice, c'est comme la Sainte Vierge, si elle n'apparaît pas de temps en temps, on finit par ne plus y croire.
Vous avez souhaité créer l'homme à votre image, cher Dieu. Vous n'êtes pas raisonnable non plus. Aviez-vous fait un travail sur vous auparavant ? On croit parfois bien se connaître, se voir en saint et se réveiller le diable au corps.
Et pendant ce temps-là, Albert Pignon entame avec un autre camarade un jeu des 7 familles visiblement un peu spécial:
- Dans la famille Ligonnès, je veux le fils.
- Pioche.
- Bonne pioche !
L’excellent Gorafi avait tout résumé en une de son magazine en papier glacé : « Un Français tente d’arrêter de se plaindre pendant un an. Il abandonne au bout d’un jour... »
La mer, comme cette fin de course, je l’ai dans le cœur et je veux l’y garder précieusement. Il m’en remonte une déli- cieuse mémoire des étoiles. Une mémoire de la mer. A tout jamais...
" Et puis, l’étai de trinquette est venu me fouetter violemment le visage avant que je ne m’écrase sur le pont. Je pissais le sang et souffrais le martyre. Je ne sais d’où m’est venue la force, sans doute du désespoir au plus profond de cette nuit démente, pour affaler la toile, sauf quelques mètres carrés pour assurer une cape le temps de me soigner et de sortir du chaos, du KO. A genoux, j’ai même dû me recoudre une arcade sourcilière avec l’aide du médecin de la course, qui a guidé mes gestes par téléphone satellite. Puis l’aube s’est levée. Il n’est de nuits qui n’atteignent l’aurore"
A ce titre, la compilation des sujets les plus commentés sur Twitter ces derniers temps donne le vertige ou plutôt une idée assez précise de la pauvreté de nos préoccupations, du naufrage abyssal de la pensée. Nous con...finons avec l’immensément grand, l’infini.