Contrainte et forcée de le lire. Je rigole. Livre choisi par le club lecture auquel j'appartiens. Partie quand même à reculons au vu du titre à rallonge (je changerai d'avis). Et à l'arrivée ? Eh bien j'ai aimé l'humour noir, façon
Joël Egloff, qui s'en dégage. Je préfère parler de mon ressenti et non de l'histoire car le risque d'y dévoiler un indice est grand. En gros, un jeune inspecteur est chargé de mener l'enquête sur le meurtre de Joël, retrouvé dépecé dans une cuve à confiture dont le patron de l'usine n'est autre que le maire. Il devra faire équipe avec le gardechampetre, habitué à traquer plutôt les braconniers. de plus, la ligne téléphonique a été coupée. Euh nous sommes en 1960, alors on oublie internet et on se laisse porter par les rebondissements jubilatoirs. À ceux qui l'ont lu, je pose la question : - Jusqu'où vous êtes-vous fait avoir ? Moi ? Je dirai au trois-quarts.
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