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Critique de MARTINE300645


Abel Quentin fait revivre sous sa plume le poète Robert Willow, inconnu et talentueux, né en Caroline du Nord en 1928. Cet auteur africain-américain a été occulté par la modernité. Fuyant l'Amérique ségrégationniste au début des années 1950, il a frayé dans le Saint Germain des Près de Boris Vian et de Juliette Gréco, avant de s'installer dans l'Essonne, à Etampes, où il se consacre à son oeuvre, dont la majeure partie sera écrite en français. Dans les années 50, la France était devenue une terre d'élection pour certains artistes africains-américains. Les USA à cette époque, était un pays raciste, où l'on brûlait vif des Noirs !!!!
Nous cheminons dans ce livre sur les pas de Robert Willow, certes, mais aussi sur celui qui avait décidé de le faire connaître : Jean Roscoff. Trop de détails sur la vie de ce dernier, notamment quand il était militant à SOS Racisme, sur l'échec de son mariage ou sur les attaques des blogueurs qui nuisent à la lecture de ce récit et le rendent pesant.
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