Relecture quelques années plus tard. C'est cette tendresse de Quint que je retrouve intacte, son amour pour les siens au sens large.
Son humour qui peut grincer être un peu trop volontariste parfois mais, il sait dessiner nos sourires .
Son autodévaluation est toujours présente et pesante.
Il ne se fait pas de cadeau, se traite comme le dernier des derniers, le plus moche, le plus maladroit, le plus....
Cette histoire est extravagante comme la vie peut l'être parfois.
Elle commence tres fort:par un tango poussif et du Camus mal interprété..
C'est une petite pépite d'humanité qui surgit d'une hécatombe .
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