Un bel hommage aux résistants,en général et en particulier à André et Gaston qui faisaient sauter les transfos au péril de leur vie et au chef de gare, pris dans l' embuscade, qui se dénonce à la place de ses "tueurs".
Une leçon de philosophie où le rire, propre de l'homme, lui permet parfois de conserver sa dignité.
Un bel exemple de fraternité puisqu'il ne faut jamais généraliser, le côté des méchants n'étant pas forcémement entièrement méchant.
Une réhabilitation du père,qui débute en clown et finit en héros.
Un conseil:méfiez vous de l'image et du paraître!
Des dialogues émouvants, une adaptation en film que j'avais déjà vu au cinéma avec les excellents
André Dussolier et Jacques Villeret, un texte en solo que j'ai pris plaisir à écouter dernièrement en adaptation théatrale au "off" d'Avignon et que j'ai relu hier avec plaisir!
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