[4ème de couverture : La police et Claire Kauffmann, la procureur, s'interrogent. Qui est cette morte à la robe blanche ? Au nom de quelle abomination lui a-t-on scellé le vagin à la cire de cierge ? Sa présence lors de la procession du 15 août tenait-elle de la provocation ou de la ferveur religieuse ? le Père Kern, le prêtre de Notre-Dame, est persuadé que l'enquête fait fausse route. Pour élucider le mystère de la Madonne, l'homme de foi remontera jusqu'au racine du mal...]
Lecture parfaite pour un après-midi pluvieux ou sur une chaise longue à paresser au soleil ou encore un voyage en train, avion.
La Madone de Notre Dame n'est pas, pour moi, un roman mais un scénario de film. Ecrit avec beaucoup de dialogues, peu de descriptions et une écriture très nerveuse, l'ouvrage d'
Alexis Ragougneau se lit d'une traite.
J'ai bien aimé les passages dans la cathédrale, quelques répétitions toutefois, le nombre de visiteurs par jour est répété au moins trois fois sur trois pages successives. Qui n'a pas retenu ?
Le personnage du prêtre Kern est très bien vu. Petit homme en prise avec ses propres démons c'est le seul personnage à la psychologie fouillée.
Des incohérences toutefois attention risque de spoiler
l'emploi du temps de Mourad ne lui permet pas d'effectuer ses rondes le soir mais lui permet pourtant de donner des cours d'informatique au Père Kern ?! Commenter  J’apprécie         60