Patrick Rambaud poursuit ses chroniques du Palais de notre Vème dynastie. Au début, on rit jaune, mais on rit. A la fin, l'écoeurement l'emporte et , de la joyeuse satyre, ne reste plus que la furieuse envie de faire un autodafé de notre carte d'électeur. Que vaut-il mieux? Lire ce qu'on sait déjà ou faire semblant de l'ignorer? Je n'ai pas la réponse.
Je conseille spécialement l'épilogue qui définit assez bien la crétinerie et l'obscurantisme.
Ames sensibles et ulcéreux s'abstenir.
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