Nul ne pourra jamais me soupçonner d'éprouver une quelconque sympathie pour les travaux de
François Rastier qui, naguère, me rapprochant de
Rebatet et Boutang, me soupçonna (Rastier est un chercheur et un chercheur soupçonne, c'est ainsi, du moins en France) de nourrir, à l'endroit du nazisme (et de l'antisémitisme, je suppose ?) une très trouble fascination, comme
George Steiner d'ailleurs, un auteur que
François Rastier n'aime pas plus qu'il ne m'aime ou plutôt, parce que l'auteur de
Réelles présences est plus connu que moi, qu'il aime beaucoup moins qu'il ne m'aime.
J'ai répondu aux très vagues analyses de ce directeur de recherche au CNRS, spécialisé dans la sémantique de l'interprétation, dans une longue note, indiquée plus haut, moquant une rigueur philologique à géométrie plus que fluctuante dans son cas, rigueur philologique dont il est le premier à pointer l'absence chez ses adversaires, qui sont encore plus nombreux que les miens, et surtout beaucoup plus doués que ces derniers.
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