AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,41

sur 41 notes
5
3 avis
4
15 avis
3
10 avis
2
4 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 2 étoiles  
Dans un futur lointain, l'homme a colonisé de nombreuses systèmes solaires. Il a construit un empire galactique en tentant d'harmoniser les pratiques scientifiques, culturelles et religieuses. Mais cet empire est en crise majeure...

La fleur de dieu est un roman de science-fiction proposant un univers assez dense mais malheureusement je n'ai pas réussi à rentrer dedans. A tel point que j'ai failli abandonner deux ou trois fois avant d'être poussé par un regain de fierté. Donc je me suis accrochée mais on ne peut pas dire que j'ai passé un bon moment de lecture.
Le langage est soutenu, précis. Plutôt un bon point mais il se laisse aller à des discours abscons sur la religion ou des explications techniques de sauts quantiques et autres voyages intersideraux. Ce genre de chapitres m'ennuyaient profondément et me laissaient sur le carreau. C'est généralement après une telle longueur que je me sentais découragée par ma lecture et sur le point d'abandonner.
L'univers décrit est complet, recherché. Plutôt un bon point mais il est parfois trop compliqué. A tel point qu'un énorme glossaire est nécessaire pour expliquer les différents termes. Les nombreuses asterisques coupent la lecture, l'alourdissent, énervent. Une plus grande simplicité aurait allégé la lecture.
De nombreux points de vue sont explorées, multipliant les personnages sans qu'aucun ne se dégage. Résultat, aucun personnage auquel s'attacher. Très peu d'émotions ressortent du récit qui a en plus tendance à beaucoup se répéter puisque chaque événements est de nouveau conté pour chaque personnage. Au final ça n'avance pas et on a plus l'impression d'être face à une introduction qu'à à un premier tome.
Commenter  J’apprécie          120
Un grand merci aux éditions Albin Michel et à Babelio pour l'envoi de ce roman.

Me voilà bien embêtée pour vous parler de ce roman. En toute honnêteté je n'y ai pas accroché du tout, à tel point que, bien que je l'ai lu, je suis incapable de vous dire de quoi il parle.
Dès les premières pages, j'ai senti que ça n'allait pas le faire : toutes les 10 lignes, je tombais sur une référence inconnue munie d'un astérisque m'invitant à aller consulter les 50 pages de glossaire en fin de bouquin. 50 pages de glossaire !!! J'ai absolument horreur des glossaires : pour moi, une annotation doit être en fin de page sinon rien. Aller consulter un glossaire en fin de bouquin c'est interrompre sa lecture, mettre plusieurs minutes à trouver le bon mot et avec un peu de chance ne pas avoir à consulter un autre mot pour comprendre la première définition. Bref, ça me coupe de l'histoire et j'aime pas ça. Mon idée de génie a donc été de me passer du glossaire qui m'empêchait d'apprécier l'histoire. du coup, je vous le donne dans le mille : je n'ai rien compris du tout à ce qu'il se passait. Sauf que moi, quand je comprends pas et que je me détache, je me mets inconsciemment à lire en diagonale, d'où le fait que je ne sache pas très bien de quoi ça parle en refermant La fleur de Dieu. Bref, les annotations c'est vraiment mieux.
L'autre point qui m'a achevée, c'est l'hyperprésence de la religion. Alors oui, rien qu'au titre et au résumé j'aurais pu le deviner. Sauf que, je ne pensais pas qu'on y parlerait de nos religions à nous mais qu'il s'agirait d'une religion inventée de toute pièce. Généralement, j'accroche plutôt bien aux livres où est décrite une religion fictive, ça permet vraiment d'entrer dans un univers nouveau. Là, les religions créent un pont étrange entre notre monde et celui-ci qui, je crois, ne ressemble plus tellement au notre.

Comme vous vous en doutez, je n'ai pas non plus accroché à l'écriture de Jean-Michel RÉ. Je l'ai trouvée extrêmement compliquée. Déjà que la plupart des histoires de science-fiction sont prises de tête et ne sont pas les plus évidentes à comprendre (cela dit, j'aime beaucoup ce genre), si l'on rajoute une écriture à effets, c'est fini pour moi. J'aime que les choses soient dites avec simplicité pour qu'elles soient accessibles à tout le monde. Là, clairement, y'a de l'abus de virgules. Mais gare à l'apnée s'il vous prend l'envie de lire des passages à voix haute.
Bref, je passe mon chemin.
Lien : http://lunazione.over-blog.c..
Commenter  J’apprécie          80
Merci à Babelio et aux éditions Albin Michel pour l'envoi de ce premier tome.

Malheureusement j'ai été très déçue par cette lecture. C'est le deuxième livre d'Albin Michel que je reçois grâce à Masse Critique et n'avoir qu'une couverture blanche à chaque fois est toujours un peu frustrant.
Le premier problème auquel il faut faire face est ces nombreuses références au glossaire à tout bout de champ, qui coupe la lecture du récit, qui nous empêche d'avoir une lecture fluide. de plus ce glossaire n'est pas toujours très intéressant. Pourtant il permet d'approfondir l'univers et le contexte mais c'est aussi parfois des pavés qui nous donnent un flot d'informations dont on ne sait pas quoi faire, qui s'intègre assez mal au récit en cours. J'avoue avoir la plupart du temps ne pas été lire à quoi renvoyer les étoiles ou seulement le strict nécessaire pour comprendre de quoi il retournait. Un parti pris mais au moins je ne décrochais pas du récit sur lequel j'avais parfois du mal à me concentrer.
L'histoire est assez flou. C'est un tome assez court et on a l'impression que ça ne fait que commencer. Ce qui rapporte au complot est assez intéressant mais on en sait très peu sur les motivations de chacun, les tenants et les aboutissants. Et puis tout ce qui tourne autour de l'Enfant est assez rébarbatif et soporifique. On ne sait pas de quoi il retourne.
La fin n'avance pas. On voit les "retentissements" des dernières actions de l'Enfant dans les différents partis, et comme ils sont nombreux ça prend un temps fou pour ne rien raconter de plus. On ne comprend pas où ça va en venir et ce que ça change pour tous.
Les personnages sont nombreux et assez anonymes. J'ai eu du mal à retenir les noms et les fonctions. On n'a pas l'impression de les connaitre. Ils nous semblent lointain. Si ils ne sont pas antipathiques voire même intéressants, ils ne sont pas attachants pour autant.
Commenter  J’apprécie          80
un univers très construit de Space opéra.Malgré le glossaire, je m'y perds.Il manque aussi des personnages à suivre auxquels le lecteur pourrait s'attacher.Des longueurs et des chapitres qui se succèdent avec des ruptures qui nuisent au suivi de l'histoire déjà difficile.
Commenter  J’apprécie          00


Lecteurs (87) Voir plus



Quiz Voir plus

Les plus grands classiques de la science-fiction

Qui a écrit 1984

George Orwell
Aldous Huxley
H.G. Wells
Pierre Boulle

10 questions
4887 lecteurs ont répondu
Thèmes : science-fictionCréer un quiz sur ce livre

{* *}