Le paradis se trouve sous les pieds de nos mères (18)
Aujourd'hui beaucoup de jeunes leur temps sur les réseaux sociaux et s'y enferment, et on ne les prévient pas assez du danger.
Pour moi, personne ne peut savoir ce qu'il y a dans le cœur de l'autre !
Les radicaux et l’extrême droite sont des miroirs, ils sont les seuls à croire que l’islam radical est un islam trop pratiqué.
Un amalgame est fait depuis trop longtemps : beaucoup de gens pensent que l’islam est une religion dangereuse. Les événements font peur. Quand j’étudie ces amalgames, je m’aperçois qu’ils sont politiques dans un premier temps. Quand on parle d’« islam modéré », cela me fait bien rire, comme si l’islam, religion de paix, devait être pratiqué avec modération.
Beaucoup croient que des femmes libres qui portent un foulard sont soumises. Pour moi elles sont libres, c’est leur façon peut-être de se rapprocher de Dieu, ou bien leur style vestimentaire, mais toutes celles que je connais sont des sacrées femmes et elles sont libres !
L’islam est aujourd’hui une religion qui fait peur, car les terroristes la prennent comme prétexte pour justifier leurs actes.
L’endoctrinement se fait généralement dans la solitude, lorsque la personne est en quête d’une voie intérieure, dans une phase de questionnement et donc très sensible.
Chaque histoire a sa particularité, et je pense que la mienne a eu plusieurs points forts avant d’atteindre son but. Tout d’abord, et c’est le plus important, mon amour pour toi a été la force qui m’a poussée à n’avoir peur de rien. Ma vie sans toi ne valait pas le coup, alors autant la risquer pour te retrouver.
Une mère qui aime son enfant le suit jusqu’au bout du monde.
Dans la famille, chacun souffrait à sa manière mais essayait de me ménager en restant discret, mais je pouvais tout de même deviner leur douleur d’un simple regard.
Je n’ai rien contre le voile, s’il n’est pas imposé par autrui. Toute personne a le libre choix de se vêtir comme elle le souhaite. Qu’il s’agisse du voile islamique ou bien de l’habit de bonne sœur : je ne me permets pas de juger.