Après
Lionel Duroy,
Delphine de Vigan,
Félicité Herzog, Michel schneider,
(et tous ceux que je n'ai pas lu) voici un nouveau récit à charge d'une enfance blessée et d'un réglement de compte familial .
Quel triste déballage de souvenirs impliquant des parents aussi irresponsables qu 'égoïstes, voir pervers.
Les souffrances passées sublimées par le talent de l'écriture permettent sans doute d'exorciser
le chagrin ou la haine.
Dans le cas de
Nathalie Rheims, je suis surprise que ce témoignage omette
une soeur (Bettina ?) et charge plus la mère que le père absent.
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