Il y eut un vote. Le calendrier fut adopté à une voix de majorité, à la condition que les photos soient prises dans l’enceinte de la citadelle.
Au début, les rugbymen se firent tirer l’oreille mais l’exemple de leurs glorieux collègues du Stade français et la force de persuasion de Gwenaëlle furent déterminants.
Le lancement fut effectué de main de maître.