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Critique de Maym
"Etonnants lapins" est un petit livre ludique et engagé écrit par le biologiste et naturaliste Pierre Rigaux. le livre est agrémenté de petites illustrations didactiques (de Marion Jouffroy), d'une petite dose d'humour et se lit relativement rapidement. Il permet de mieux connaître les lapins dans leur morphologie, leur vie, leur habitat et leur évolution à travers les âges. Est également abordé le triste sort réservé aux lapins depuis que l'Homme a choisi d'en faire de l'élevage industriel. Qui dit industriel dit cruel, que ce soient pour les lapins exploités pour la viande, la fourrure, la chasse ou les expériences en laboratoire.
Dans ce commentaire, j'ai choisi de me focaliser en particulier sur ce qui m'indigne le plus, vous trouverez ci-dessous quelques informations notables (parmi d'autres) à propos de la cruauté qui leur est infligée. Ces aspects sont abordés dans le livre de manière concise et l'auteur a pris soin de ne pas trop les détailler, pour simplement éveiller la prise de conscience, sans dégoûter à la lecture. Cela est abordé seulement dans la deuxième partie du livre, la première étant beaucoup plus légère et générale sur la connaissance du lapin de garenne.
- Pour la viande, 99% vivent en cage et n'ont pas plus d'une feuille A4 par individu, et sont sélectionnés et nourris pour avoir des muscules surdéveloppés par rapport au reste de leur anatomie. 25% n'atteindra même pas l'âge de l'abattoir (70j). Quant aux lapines, exploitées sans répit pour mettre au monde 90 lapereaux par an, elles sont abattues au bout d'un an pour être remplacées par des lapines plus "rentables" (et 30% n'atteindront pas l'âge d'un an).
- Pour leur fourrure, les lapins angoras sont "épilés" trois fois par an pendant plusieurs années, attachés, poussants des cris de souffrance et de terreur (le lapin étant un animal extrêmement peureux et fuyard), pendant qu'on leur arrache des touffes de poil et malheureusement parfois la peau avec.
- En laboratoire, ils sont utilisés pour tester des produits destinés aux humains, mais aujourd'hui la pertinence de ces tests est remise en question car ce qui fonctionne sur le lapin ne fonctionne pas nécessairement sur l'Homme (120 000 sacrifices par an en France)
Reste encore la chasse où ils sont élevés pour être relâchés puis tués pour le plaisir, l'introduction volontaire des lapins puis de virus spécialement créés (myxomatose, virus de la fièvre hémorragique, virus RHDV2...) pour les décimer car manque d'anticipation sur la prolifération ou les conséquences écologiques... Bref, encore un ramassis d'aberration et de cruauté signé : l'espèce humaine.
Dans ce commentaire, j'ai choisi de me focaliser en particulier sur ce qui m'indigne le plus, vous trouverez ci-dessous quelques informations notables (parmi d'autres) à propos de la cruauté qui leur est infligée. Ces aspects sont abordés dans le livre de manière concise et l'auteur a pris soin de ne pas trop les détailler, pour simplement éveiller la prise de conscience, sans dégoûter à la lecture. Cela est abordé seulement dans la deuxième partie du livre, la première étant beaucoup plus légère et générale sur la connaissance du lapin de garenne.
- Pour la viande, 99% vivent en cage et n'ont pas plus d'une feuille A4 par individu, et sont sélectionnés et nourris pour avoir des muscules surdéveloppés par rapport au reste de leur anatomie. 25% n'atteindra même pas l'âge de l'abattoir (70j). Quant aux lapines, exploitées sans répit pour mettre au monde 90 lapereaux par an, elles sont abattues au bout d'un an pour être remplacées par des lapines plus "rentables" (et 30% n'atteindront pas l'âge d'un an).
- Pour leur fourrure, les lapins angoras sont "épilés" trois fois par an pendant plusieurs années, attachés, poussants des cris de souffrance et de terreur (le lapin étant un animal extrêmement peureux et fuyard), pendant qu'on leur arrache des touffes de poil et malheureusement parfois la peau avec.
- En laboratoire, ils sont utilisés pour tester des produits destinés aux humains, mais aujourd'hui la pertinence de ces tests est remise en question car ce qui fonctionne sur le lapin ne fonctionne pas nécessairement sur l'Homme (120 000 sacrifices par an en France)
Reste encore la chasse où ils sont élevés pour être relâchés puis tués pour le plaisir, l'introduction volontaire des lapins puis de virus spécialement créés (myxomatose, virus de la fièvre hémorragique, virus RHDV2...) pour les décimer car manque d'anticipation sur la prolifération ou les conséquences écologiques... Bref, encore un ramassis d'aberration et de cruauté signé : l'espèce humaine.
