Dans un monde d'adversités, de trahisons, d'amitiés vite créées, et aussi vite consommées, la loyauté est une marque de panache et de courage.
Au fond une relation saine n'est pas une relation parfaite, mais celle dans laquelle on se sent "reconnu" et non méprisé, celle où les questionnements ont leur place. La "reconnaissance" est plus qu'un concept, c'est une clé pour les rapports humains.
L'art est moins nécessaire que la science pour notre vie matérielle. Nul doute qui l'est davantage pour notre vie spirituelle.
L'étrangeté se trouve dans l'œil de celui qui "découvre" ce qu'il regarde.
La crise condamne un avant pour élire un après.
Si je m'y attelle, ce n'est pas par contrainte, ni pour rencontrer le succès, car rien au monde n'est plus précaire que les ambitions bancales. Si je le fait avec tant de discipline, c'est parce que j'en ai besoin. C'est parce que je suis convaincue de la force des rituels, qui à force de répétitions, nous transforment.
La prise de conscience est le début de la liberté et la garantie d’une saine obéissance. Je vous souhaite de faire preuve de sagesse, avec conscience.
ceci est un dictionnaire. Je crois qu’il y a quelque chose d’encore plus singulier que la famille, t’es encore plus mystérieux, et peut-être même, d’encore plus confrontant, il s’agit de ce lien si particulier qu’est la « belle-famille ». ces êtres avec qui nous sommes reliés par procuration, par la force d’un amour, dont nous ne mesurons pas forcément toutes les conséquences à l’aune des premiers jours. Même le terme intrigue. L’adjectif « belle »renvoyait au Moyen Âge à une marque de tendresse, un signe d’affection, destiné à souligner l’attachement qui se joue, dans l’adoption d’un membre n’ayant pas le même sang.
Le sport n'est pas une fin en soi, mais une possible passerelle pour relier ce tout si parfaitement imparfait qu'on appelle l'homme.
Je sais que l'envie est un feu à chérir, celui qui nous permet d'aller au-delà de nous-mêmes, de bâtir des projets, de bousculer propre existence aussi bien que cette société qui mérite si souvent qu'on la secoue.