Il y a du
Thomas Hardy chez
Edouard Rod ! et c'est pas étonnant quand on sait que le premier se destinait dans sa jeunesse à être pasteur puis sombra dans le scepticisme, influencé par les théories modernistes naissantes , comme le darwinisme...(puis le pessimisme, avec
Schopenhauer). IL y a un peu de tout cela chez
Edouard Rod aussi : tous ses romans sont fortement imprégnées de morale évangélique (le clavinisme, la branche dure !) et pourtant Edourad Rod a perdu la foi depuis longtemps...
Quant à ce roman, (qui m'a rappelé Tess d'Uberville), il m'a littéralement bouleversé et c'est presque la larme à l'oeil que je le referme...
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