Le combat continue dans l'intérêt même de la société et de la démocratie.
Les enfants ont des droits, certes, mais ils n’en savent rien, et la plupart des adultes non plus.
L'ambiance a changé. Je sens bien que mes concitoyens commencent à s'alarmer de la violence de leur jeunesse, notamment de celle qui, comme Laetitia, vit dans nos quartiers défavorisés et sérégués de banlieue, qu'on a laissés se dégrader sans que personne ne s'en émeuve plus que ça.
En réalité, débattre de la gifle et de la fessée permet de promouvoir une réflexion sur ce que doit être le rapport entre parents et enfants, sur l'autorité. M'obéis-tu parce que je te fais peur ou parce que je te respecte et que tu sais que je veux ton bien ?