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Critique de LivresdAvril


Je remercie Babelio et Les Impressions nouvelles de m'avoir envoyé ce livre dans le cadre de la dernière Masse Critique.
J'avais très envie de découvrir ce livre de Rossano Rosi : sa belle couverture propice à la rêverie (une peinture John Constable) promettait une jolie balade dans Londres, ville que j'apprécie beaucoup. Plus engageant encore : la quatrième de couverture, annonçait un récit doux-amer, une mélancolique méditation sur le temps qui passe. Malheureusement, cela n'a pas « fonctionné » avec moi. Ce récit est ponctué de circonvolutions et autres digressions qui m'ont perdue et déroutée. Etait-ce là l'objectif de l'auteur ? Nous perdre dans un Londres qui n'existe plus, à coups de détour mêlant le passé et le présent ? Et pourtant… En lisant ces lignes de Rosi, j'ai éprouvé la même chose que le personnage principal évoquant les poèmes John Keats : « À quoi ça rime ? [ …] C'est beau, oui, ces vers sont beaux. Mais ils sont obscurs et ils sont très loin de moi. » (p. 41) L'écriture est parfois brillante, mais le texte ne m'a pas émue. Cette histoire n'a trouvé aucun écho en moi. Je n'avais sans doute pas les bonnes références, le Pub d'Einfield Road se plaçant, selon l'éditeur, dans la lignée « des meilleurs textes de Raymond Queneau »…
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