Je n'ai pas vraiment accroché avec cette pièce sans pour autant pouvoir dire pourquoi: le niveau de langage est toujours impeccable, comme toujours avec
Edmond Rostand... mais je n'ai pas ressenti la magie habituelle, cette étincelle éblouissante qui m'a délicieusement aveuglée dans
Cyrano de Bergerac,
Chantecler et La princesse lointaine.
L'aiglon n'a pas étendu ses ailes comme un aigle majestueux, condamné à ne rester qu'un Aiglon dans l'ombre d'autres aigles.
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