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Critique de bilodoh
Troisième volet de la série qui devait être une trilogie, mais qui se poursuivra au tome Quatre.
Une dystopie, mais surtout une histoire d'amour, avec de jolies phrases comme : « je suis une lame et lui la pierre sur laquelle je m'aiguise. » Ou encore : « je sais d'instinct que c'est ce que fait l'amour vrai : il nous élève au-delà de ce qu'on est, au-delà de ce qu'on pensait pouvoir devenir. »
Par rapport à l'opus précédent, il y a changement dans l'écriture, puisqu'il y a maintenant une alternance entre les voix de Tris et de Tobias. Mais le ton demeure le même, avec les tiraillements de l'adolescence, les difficultés avec les familles, l'amitié, ses loyautés et ses trahisons.
Un thème s'ajoute, une question toujours d'actualité pour les jeunes Américains et une réminiscence de la Seconde Guerre mondiale : le racisme, avec une société où la « science » a « démontré » que ceux qui ont des gènes purs sont des êtres supérieurs, qui peuvent accéder à de hautes fonctions auxquelles les autres ne seront jamais conviés.
Autre sujet de réflexion : la guerre, qui est davantage un problème du pouvoir des personnes qui en veulent toujours plus et refusent les compromis. La guerre, qui demande aussi le sacrifice de ceux qui sont envoyés au combat, ceux et celles qui choisissent de risquer leur vie pour sauver celle des autres.
Une lecture divertissante, même si je n'ai pas ressenti un grand coup de coeur pour les jeunes héros de Veronica Roth.
Une dystopie, mais surtout une histoire d'amour, avec de jolies phrases comme : « je suis une lame et lui la pierre sur laquelle je m'aiguise. » Ou encore : « je sais d'instinct que c'est ce que fait l'amour vrai : il nous élève au-delà de ce qu'on est, au-delà de ce qu'on pensait pouvoir devenir. »
Par rapport à l'opus précédent, il y a changement dans l'écriture, puisqu'il y a maintenant une alternance entre les voix de Tris et de Tobias. Mais le ton demeure le même, avec les tiraillements de l'adolescence, les difficultés avec les familles, l'amitié, ses loyautés et ses trahisons.
Un thème s'ajoute, une question toujours d'actualité pour les jeunes Américains et une réminiscence de la Seconde Guerre mondiale : le racisme, avec une société où la « science » a « démontré » que ceux qui ont des gènes purs sont des êtres supérieurs, qui peuvent accéder à de hautes fonctions auxquelles les autres ne seront jamais conviés.
Autre sujet de réflexion : la guerre, qui est davantage un problème du pouvoir des personnes qui en veulent toujours plus et refusent les compromis. La guerre, qui demande aussi le sacrifice de ceux qui sont envoyés au combat, ceux et celles qui choisissent de risquer leur vie pour sauver celle des autres.
Une lecture divertissante, même si je n'ai pas ressenti un grand coup de coeur pour les jeunes héros de Veronica Roth.
