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Critique de Erveine
Y a le pour, y a le contre et y a la contrevie. Génial Philip Roth moi non plus je n'y couperai pas. Voilà ce qui arrive quand on veut se complaire à tout changer pour se le donner à soi plus compréhensif, du malléable jusqu'à l'insignifiance. Complais-toi et je ne t'aime plus, si tu es moi je suis seul et je ne m'aime plus non plus. Je me fous d'être à toi différent à condition que tu sois l'autre, semblance à moi ressemblant ; mais si me force, me dépareille en cet autre mortifère de circonvolutions en circonvolutions, je me dénie et entre en caste.
