André CATELLO l'a écrit :"Si le colonel Campbell, chargé officieusement de la surveillance de Napoléon à l'île d'Elbe, n'avait pas été amoureux à en perdre la tête, assurément l'impérial exilé ne serait point parvenu à quitter son carré de choux de Porto-Ferrajo."
Jean-Marie ROUART reprend la genèse de cet épisode majeur de la légende napoléonienne. le ton est agréable à la limite de l'humour aigre de l'Empereur, les faits particulièrement bien documentés, le style et la langue tout simplement remarquable. Il a frôlé le 4,5 étoiles car je l'ai trouvé trop court !
Merci M ROUART !
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