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Critique de SisteroftheMoon
"Mon petit frère : T'AS JAMAIS LU HARRY POTTER ?
(suivent plein de smiley choqués et horrifiés)
Moi : Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi !
Lui : T'a pas de vie ! (smiley terrifié)
Moi : Oooh ça va, j'ai lu plein d'autres bons bouquins
Lui : Mais pas Harry Potter, donc t'a rien lu"
Lui aussi était donc possédé par les esprits maléfiques de cette secte de fans enragés qui pense avoir atteint le nirvana de la littérature.
Le pire, c'est quand j'ai découvert que mon mari aussi était gravement atteint, lui qui ne ne carbure normalement qu'aux mangas (à mon très très grand désespoir !), alors que j'essayais de tourner en ridicule ce clan de névrosés et de gossiper un peu avec lui sur leurs démonstrations d'amour hystérique inégalées (du moins jusqu'à l'arrivée de Justin Biebeurk).
A force de remontrances alternées de supplications, j'ai fini par me lancer dans cette saga malgré moi, en forçant mon esprit d'enfant, autant que le retard accumulé pouvait me le permettre. Un retard inqualifiable si j'en crois mes petits frères, mon mari, mes amis, Babelio, Internet et toute la planète. Honteuse, j'ai donc pris garde à bien ouvrir et plier le livre sur lui-même quand je n'étais pas seule de sorte à bien cacher aux autres la 1ère et 4ème de couverture, tellement enfantines ! Lire Harry Potter en 2014 en public à 28 ans, quand même ! Au milieu du challenge Nobel en plus, entre Doris Lessing et Boris Pasternak, ça ne manque pas de contraste ...
Verdict : c'est pas mal, mais pas transcendant. Et ce n'est pas parce que je lui met 5 étoiles que je le place au-dessus de tout. C'est malicieux, divertissant, original, fluide et accrocheur, comme plein d'autres bouquins ! Nul besoin de m'étaler plus en compliments, le vase est déjà plein, brisé, éclaté ...
Je vais donc m'attaquer au tome 2 tout en lenteur, sans crise d'hystérie, à la grande joie de mon mari et au grand désespoir de ma pile à lire, mise en veilleuse.
(suivent plein de smiley choqués et horrifiés)
Moi : Tu ne vas pas t'y mettre toi aussi !
Lui : T'a pas de vie ! (smiley terrifié)
Moi : Oooh ça va, j'ai lu plein d'autres bons bouquins
Lui : Mais pas Harry Potter, donc t'a rien lu"
Lui aussi était donc possédé par les esprits maléfiques de cette secte de fans enragés qui pense avoir atteint le nirvana de la littérature.
Le pire, c'est quand j'ai découvert que mon mari aussi était gravement atteint, lui qui ne ne carbure normalement qu'aux mangas (à mon très très grand désespoir !), alors que j'essayais de tourner en ridicule ce clan de névrosés et de gossiper un peu avec lui sur leurs démonstrations d'amour hystérique inégalées (du moins jusqu'à l'arrivée de Justin Biebeurk).
A force de remontrances alternées de supplications, j'ai fini par me lancer dans cette saga malgré moi, en forçant mon esprit d'enfant, autant que le retard accumulé pouvait me le permettre. Un retard inqualifiable si j'en crois mes petits frères, mon mari, mes amis, Babelio, Internet et toute la planète. Honteuse, j'ai donc pris garde à bien ouvrir et plier le livre sur lui-même quand je n'étais pas seule de sorte à bien cacher aux autres la 1ère et 4ème de couverture, tellement enfantines ! Lire Harry Potter en 2014 en public à 28 ans, quand même ! Au milieu du challenge Nobel en plus, entre Doris Lessing et Boris Pasternak, ça ne manque pas de contraste ...
Verdict : c'est pas mal, mais pas transcendant. Et ce n'est pas parce que je lui met 5 étoiles que je le place au-dessus de tout. C'est malicieux, divertissant, original, fluide et accrocheur, comme plein d'autres bouquins ! Nul besoin de m'étaler plus en compliments, le vase est déjà plein, brisé, éclaté ...
Je vais donc m'attaquer au tome 2 tout en lenteur, sans crise d'hystérie, à la grande joie de mon mari et au grand désespoir de ma pile à lire, mise en veilleuse.
