Il n'y a pas grand chose à garder de ce « livre »... Si ce n'est que tout le monde ne peut pas être aussi en verve que
Michel Audiard ou
Raymond Devos. Il ne suffit pas de parler d'alcoolisme pour ne plus en être atteint et très rares sont celles de ceux qui réussissent à magnifier des erreurs ou des horreurs faites ou dites par quelques mots en rédemption ou victimaire. Manquent à cet auteur que j'ai découvert de l'humilité, du travail. Beaucoup de travail.
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