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Critique de psurpas
Ce livre raconte l'histoire de la crypte du mont Valérien, mémorial de la France combattante : Quinze héros de la France combattante choisis à la Libération y sont inhumés le 11 novembre 1960 ainsi que l'a voulu le général De Gaulle. L'un des cercueils est vide. Pourquoi ?
En 1960 Désiré Février (prénom pour un enfant né de père inconnu) comptable dans un journal et voulant être journaliste réalise cette enquête sur ses temps libres et se trouve pris entre deux feux : celui de la bien pensance qui cherche à cacher l'affaire et celui de la vérité qui veut la publier.
Cette enquête l'amène à se poser la question cruciale : "Qu'aurait-il fait, lui, pendant la guerre ? Quel aurait été son choix et l'intensité de son courage pour défendre son pays malgré sa peur ?"
Et là aidé par un résistant de la première heure, il va découvrir son origine et la vie de sa mère.
Je suis d'accord avec ces qualificatifs ; polar, juste, précis et drôle. J'ai été gênée par le manque de clarté des raisons du retrait du cercueil : j'aurais aimé les voir écrites noir sur blanc. Deux autres zones d'ombre que j'ai regrettées : le comportement de la famille employant Rosalie la mère de Désiré et le rôle de Henri de Prévôté dans la résistance. Agathe de Prévôté arrive comme un cheveu sur la soupe. Donc pour moi, un petit problème de construction du livre qui n'empêche toutefois pas le plaisir de la lecture et des découvertes en lien avec ce livre.
En 1960 Désiré Février (prénom pour un enfant né de père inconnu) comptable dans un journal et voulant être journaliste réalise cette enquête sur ses temps libres et se trouve pris entre deux feux : celui de la bien pensance qui cherche à cacher l'affaire et celui de la vérité qui veut la publier.
Cette enquête l'amène à se poser la question cruciale : "Qu'aurait-il fait, lui, pendant la guerre ? Quel aurait été son choix et l'intensité de son courage pour défendre son pays malgré sa peur ?"
Et là aidé par un résistant de la première heure, il va découvrir son origine et la vie de sa mère.
Je suis d'accord avec ces qualificatifs ; polar, juste, précis et drôle. J'ai été gênée par le manque de clarté des raisons du retrait du cercueil : j'aurais aimé les voir écrites noir sur blanc. Deux autres zones d'ombre que j'ai regrettées : le comportement de la famille employant Rosalie la mère de Désiré et le rôle de Henri de Prévôté dans la résistance. Agathe de Prévôté arrive comme un cheveu sur la soupe. Donc pour moi, un petit problème de construction du livre qui n'empêche toutefois pas le plaisir de la lecture et des découvertes en lien avec ce livre.
