-Tu adores quand je te taquine ! s’est-il défendu.
-Ça ne change rien !
-Bien sûr que si ! C’est comme si tu louais un film romantique et, qu’à la fin, tu lui reprochais de t’avoir fait pleurer !
-La différence, c’est que je ne t’ai pas loué !
-Cette affirmation n’est pas tout à fait exacte. Et, même si c’était le cas, avoue que tu adorerais ça !
-Quoi donc ?
-Me louer. Je suis sûr que tu serais ravie d’utiliser mon corps à ta guise.
-Certainement pas, ai-je protesté mollement avec un sourire.
-Je serais un peu ton gigolo personnel ! Tu passerais ton temps à me tripoter !
-Comme un sex-toy géant, a-t-il confirmé avec un sourire en coin.
-Hmm… Tu pourrais avoir pour slogan : Polyphème, le roi de l’orgasme extrême !
Il a éclaté de rire et je me suis tordu la lèvre inférieure pour retenir mon sourire.