La non-vie de M. Aubespin nous a semblé une scène d'un blasphème si passéiste que jamais nous n'avons d'abord pensé à consulter le grimoire de notre époque.
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𝑱𝒆 𝒔𝒖𝒊𝒔 𝒔𝒖𝒊𝒄𝒊𝒅𝒂𝒊𝒓𝒆, 𝒆𝒕 𝒎𝒐𝒏 𝒑𝒓𝒐𝒇𝒆𝒔𝒔𝒆𝒖𝒓 𝒆𝒔𝒕 𝒖𝒏 𝒄𝒂𝒅𝒂𝒗𝒓𝒆. 𝑪'𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒂 𝒎𝒐𝒓𝒕 𝒆́𝒕𝒓𝒂𝒏𝒈𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒂𝒏𝒊𝒎𝒆́𝒆 𝒒𝒖𝒊 𝒎𝒂𝒊𝒏𝒕𝒊𝒆𝒏𝒕 𝒆𝒏 𝒗𝒊𝒆 (...) 𝑺𝒂𝒏𝒔 𝒄𝒆𝒕𝒕𝒆 𝒊𝒏𝒕𝒓𝒊𝒈𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒂𝒑𝒑𝒂𝒓𝒊𝒕𝒊𝒐𝒏, 𝒎𝒐𝒊 𝒏𝒐𝒏 𝒑𝒍𝒖𝒔, 𝒋𝒆 𝒏𝒆 𝒓𝒆𝒔𝒑𝒊𝒓𝒆𝒓𝒂𝒊𝒔 𝒑𝒂𝒔.
Je ne souffrirais pas si j'étais votre hôte, et je veux vivre dans le faîte de la croix qui orne votre sépulture. Je veux entendre toutes les nuits le conte de votre mort et la perte de votre respir. Faites-moi écouter le goût salé de la noyade (...). (...) tombons ensemble dans les immensités silencieuses où se reflètent les comètes de vos yeux tristes.