Fin de la seconde guerre mondiale. Philip Bowman (tiens le même nom du héros de trois mille chevaux vapeur que j'ai adoré !) rentre à New York où il devient directeur littéraire.
On va le suivre, le long de sa vie, dans ses passions charnelles avec ses réussites et ses échecs, entrecoupées de littérature, bouffe, vin.
Difficile d'exprimer pourquoi j'ai aimé ce roman : c'est fluide, vivant, passionné, quoique la fin s'étire. Mais peut-être la cause principale est que l'on ressent, chez
James Salter, le grand amoureux de la femme ? Où cette façon d'écrire qui pourrait nous faire avaler des couleuvres ?
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