Dans les années 1980, la guerre civile fait rage au
Salvador. C'est là, dans un petit village, qu'
Anna a grandi pauvrement mais entourée d'amour.
Grâce à sa mère qui a pu la cacher à temps, elle sera la seule rescapée du massacre des habitants de son village. Soeur Josepha va alors tout mettre en oeuvre pour la protéger et l'emmener avec elle aux Etats-Unis. Hébergée dans un couvent, c'est tout naturellement qu'
Anna se tourne vers la religion. Alors qu'elle est sur le point de prononcer ses voeux, une mission temporaire de gouvernante la conduit dans la famille Trevis.
L'auteure, ensuite, fait un grand bond dans le futur et nous présente
Anna au chevet de son "bien-aimé" malade.
J'ai trouvé la technique intéressante, l'intérêt de l'histoire (d'amour, forcément) devenant le déclic, l'instant magique.
Dommage, le soufflé retombe bien vite, c'est long, très long, ça devient soporifique, et je me suis désintéressée peu à peu du sort de cette pauvre
Anna qui ne semble pas pressée de prendre de revanche sur sa triste vie.