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Critique de XanderOne
Ce deuxième tome clôture le long retour en arrière et emmène donc le lecteur vers cette scène d'ouverture qui montrait deux enfants pourchassés dans la forêt par un adulte muni d'une machette.
Mais, arrivé à la moitié de cette série prévue en quatre tomes, force est de constater que l'auteur est très avare au niveau des révélations, entretenant savamment le mystère qui plane sur l'île de Hôzuki.
Multipliant les pistes, Kei Sanbe ("Kamiyadori", "Testarotho") installe une ambiance d'épouvante et fait encore monter la tension d'un cran. Outre les visions fantomatiques, c'est surtout l'imagination des enfants, leurs thèses et leurs soupçons qui vont habilement venir nourrir l'intrigue. le fait que ces derniers souffrent de troubles psychologiques plus ou moins graves permet également de brouiller habillement les pistes. Après avoir développé un huis-clos prenant au sein de cette école spécialisée très étrange, l'auteur s'engage maintenant dans une course-poursuite haletante.
Les enfants décident de fuir et tentent une périlleuse traversée de nuit de l'île. Cette aventure nocturne permet d'accentuer le côté lugubre du récit, tandis que le mélange entre l'aspect horrifique du sujet et le côté enfantin des héros continue de faire mouche au niveau du graphisme et du scénario.
On continue également d'avoir droit à quelques scènes de nu et plusieurs gros-plans sur petites culottes, qui donnent une impression de gratuité parfois dérangeante, même si, au final, celles-ci permettent d'augmenter les soupçons envers un éducateur au comportement pervers plus que suspect.
Multipliant les pistes, Kei Sanbe ("Kamiyadori", "Testarotho") installe une ambiance d'épouvante et fait encore monter la tension d'un cran. Outre les visions fantomatiques, c'est surtout l'imagination des enfants, leurs thèses et leurs soupçons qui vont habilement venir nourrir l'intrigue. le fait que ces derniers souffrent de troubles psychologiques plus ou moins graves permet également de brouiller habillement les pistes. Après avoir développé un huis-clos prenant au sein de cette école spécialisée très étrange, l'auteur s'engage maintenant dans une course-poursuite haletante.
Les enfants décident de fuir et tentent une périlleuse traversée de nuit de l'île. Cette aventure nocturne permet d'accentuer le côté lugubre du récit, tandis que le mélange entre l'aspect horrifique du sujet et le côté enfantin des héros continue de faire mouche au niveau du graphisme et du scénario.
On continue également d'avoir droit à quelques scènes de nu et plusieurs gros-plans sur petites culottes, qui donnent une impression de gratuité parfois dérangeante, même si, au final, celles-ci permettent d'augmenter les soupçons envers un éducateur au comportement pervers plus que suspect.
