La lutte contre les factions et le rappel des commissaires impliqués dans les excès de la terreur ou dans les prévarications entraînent la suppression des tribunaux révolutionnaires dans les départements (sauf deux) au profit unique de celui de Paris.
Mais, de ces années de poudre et de sang, l'Histoire va retenir, surtout, que rien ne peut enchaîner les hommes.