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Critique de emilielettres
Auteur qui ne m'est pas inconnu, que j'achète toujours au hasard de mes errances dans les rayons des librairies même si je me tiens régulièrement informée de ses publications, Eric-Emmanuel Schmitt m'a cette fois transportée dans des sphères et dans des réflexions qui m'ont passionnée et, oserais-je le dire? l'écrire?, enrichie.
Je me suis délectée de cette lecture, j'avais à la fois hâte et peur d'achever l'ouvrage : hâte car j'avais faim de tout ce qu'il pouvait m'apporter et peur de me retrouver seule ensuite.
J'ai beaucoup aimé suivre le personnage d'Augustin Trolliet, au départ candide, pauvre stagiaire dans un journal, obligé de squatter car non rémunéré, pupille de la nation mais qui semble plus intelligent et plus animé par un goût de la littérature que ses collègues, aspirant à d'autres réflexions que les commérages d'une petite ville belge! Rapidement, il semble être doté d'un don rare : il voit les esprits des morts qui tournent autour de certains vivants. Au fil du livre, nous découvrons plusieurs raisons à leur présence. le personnage d'Augustin est aussi très rapidement mêlé à des attentats islamistes. Les enquêtes le désignent rapidement comme suspect plus que comme victime, son patron profite de sa présence sur les lieux pour réaliser des articles fumeux pour augmenter le tirage du journal...
Nous suivons donc le quotidien d'Augustin au fil de ses questionnements sur le monde, sur le sens de la vie, sur Dieu, sur l'écriture ainsi qu'au fil de ses rencontres. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé me poser les mêmes questions et "discuter" en même temps que lui avec la juge Poitrenot et E-E Schmitt.
Je ne dévoilerai ici aucun autre élément de l'intrigue pour ne pas en dire trop car il est vraiment très savoureux de tout découvrir au fur et à mesure mais chaque personnage a sa place et son importance.
J'ai relevé beaucoup de passages forts, importants, marquants, que je souhaite relire pour ne pas oublier de réfléchir et de me poser des questions. Il ne faut pas partir du principe que tout est acquis mais tout remettre en question.
Enfin, je souhaite préciser que peu importe que l'on soit croyant ou athée, chrétien, juif ou musulman, ce livre est pour tous. La réflexion me semble intéressante pour tout un chacun.
Je me suis délectée de cette lecture, j'avais à la fois hâte et peur d'achever l'ouvrage : hâte car j'avais faim de tout ce qu'il pouvait m'apporter et peur de me retrouver seule ensuite.
J'ai beaucoup aimé suivre le personnage d'Augustin Trolliet, au départ candide, pauvre stagiaire dans un journal, obligé de squatter car non rémunéré, pupille de la nation mais qui semble plus intelligent et plus animé par un goût de la littérature que ses collègues, aspirant à d'autres réflexions que les commérages d'une petite ville belge! Rapidement, il semble être doté d'un don rare : il voit les esprits des morts qui tournent autour de certains vivants. Au fil du livre, nous découvrons plusieurs raisons à leur présence. le personnage d'Augustin est aussi très rapidement mêlé à des attentats islamistes. Les enquêtes le désignent rapidement comme suspect plus que comme victime, son patron profite de sa présence sur les lieux pour réaliser des articles fumeux pour augmenter le tirage du journal...
Nous suivons donc le quotidien d'Augustin au fil de ses questionnements sur le monde, sur le sens de la vie, sur Dieu, sur l'écriture ainsi qu'au fil de ses rencontres. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé me poser les mêmes questions et "discuter" en même temps que lui avec la juge Poitrenot et E-E Schmitt.
Je ne dévoilerai ici aucun autre élément de l'intrigue pour ne pas en dire trop car il est vraiment très savoureux de tout découvrir au fur et à mesure mais chaque personnage a sa place et son importance.
J'ai relevé beaucoup de passages forts, importants, marquants, que je souhaite relire pour ne pas oublier de réfléchir et de me poser des questions. Il ne faut pas partir du principe que tout est acquis mais tout remettre en question.
Enfin, je souhaite préciser que peu importe que l'on soit croyant ou athée, chrétien, juif ou musulman, ce livre est pour tous. La réflexion me semble intéressante pour tout un chacun.
