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Critique de majero


Quelques années avant la guerre, malgré les avertissements de leur père signalant que les jeunes fascistes sont à la solde de bandits, Inge Scholl et ses frères et soeurs y vivent des moments fabuleux, marches, nuits à la belle étoile, jusqu'à ce que les 'chefs' commencent à bannir certains chants ou les poèmes de Séphane Zweig, jusqu'à ce qu'ils constatent les attaques contre les juifs, les couvents, les 'inutiles' vieux ou handicapés. Ils se rendent compte que le mouvement va à l'encontre de leur idéal de pureté, d'un peuple humain, mais chacun dans son coin ne peut rien faire.

Un groupe d'étudiants de Munich appelé 'La rose blanche', commence à faire circuler des tracts, exhorte les chrétiens à une résistance passive, à des actes de sabotage.
Pourchassés par la Gestapo, ils seront décapités 6 mois plus tard au printemps 43.

Le chômage était, à l'instar de nos samedis noirs (et jaunes) le terrain fertile pour une telle dictature...
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