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Critique de collectifpolar
Les Aventures de Milton Gilford....par Noc Tenbule pour Collectif Polar
Trou de mémoire – Pascal Regnauld et Roger Seiter
Histoire en 2 tomes :
Gila Monster et Combien de temps un homme peut-il survivre sans respirer ?
Pascal Regnauld et Roger Seiter nous plonge au Fischerman's Wharf, baie de San Francisco. Nous sommes dans une ambiance un peu particulière, celle des années 60. Les fans des vieux policiers au cinéma en noir et blanc verront les références avec une certaine satisfaction. Peut-être voudront-ils mettre une bande son adéquate avec un verre de whisky à porter de main. Dès la couverture, le travail de Pascal Regnauld marque la rétine. Nous sommes très loin d'une réalisation très classique Bien qu'il respecte une structure en ligne et en case, il utilise le noir comme teinte marquante. le dessinateur expose un dessin franc, direct avec une gamme de couleurs limitées et sépias. La mise dans l'ambiance est directe. On s'attache aussitôt au personnage principal. Il a oublié son identité et son passé. Par contre, il a un instinct incroyable pour trouver des indices et fuir ceux qui le suivent. Et s'ils s'approchent de trop, une balle au bon endroit résout le problème. Mais à son réveil, un cadavre se trouvait à ces côtés. La police enquête tout comme le FBI pour le trouver et l'inculper. Toutefois, à trop vouloir trouver des réponses on s'approche du danger. Quand se rend compte qu'il est trop tard pour faire marche arrière ? Une quête intéressante qui met notre tueur au même niveau que le lecteur car il découvre en même temps que lui sa vie. On se doute que tout va mal finir, ce qui n'empêche pas de tourner les pages par curiosité.
Lien : https://collectifpolar.fr/20..
Trou de mémoire – Pascal Regnauld et Roger Seiter
Histoire en 2 tomes :
Gila Monster et Combien de temps un homme peut-il survivre sans respirer ?
Pascal Regnauld et Roger Seiter nous plonge au Fischerman's Wharf, baie de San Francisco. Nous sommes dans une ambiance un peu particulière, celle des années 60. Les fans des vieux policiers au cinéma en noir et blanc verront les références avec une certaine satisfaction. Peut-être voudront-ils mettre une bande son adéquate avec un verre de whisky à porter de main. Dès la couverture, le travail de Pascal Regnauld marque la rétine. Nous sommes très loin d'une réalisation très classique Bien qu'il respecte une structure en ligne et en case, il utilise le noir comme teinte marquante. le dessinateur expose un dessin franc, direct avec une gamme de couleurs limitées et sépias. La mise dans l'ambiance est directe. On s'attache aussitôt au personnage principal. Il a oublié son identité et son passé. Par contre, il a un instinct incroyable pour trouver des indices et fuir ceux qui le suivent. Et s'ils s'approchent de trop, une balle au bon endroit résout le problème. Mais à son réveil, un cadavre se trouvait à ces côtés. La police enquête tout comme le FBI pour le trouver et l'inculper. Toutefois, à trop vouloir trouver des réponses on s'approche du danger. Quand se rend compte qu'il est trop tard pour faire marche arrière ? Une quête intéressante qui met notre tueur au même niveau que le lecteur car il découvre en même temps que lui sa vie. On se doute que tout va mal finir, ce qui n'empêche pas de tourner les pages par curiosité.
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