J'ai une passion un peu excessive pour ce roman qui se trouve être lui-même excessif : déchéance, drogue(s), sexe , cynisme, superficialité ... ; un cocktail détonnant ! le Dorian dont il est question dans le titre fait bien entendu référence "à LE Dorian", chef d'oeuvre d'
Oscar Wilde (
le portrait de Dorian Gray), ici Apollon évoluant dans le milieu gay anglais des annnées 80 (apparition du sida...). le pari était très risqué, c'est à mon avis une réussite totale.
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