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Critique de Diabolau
Il y a un peu du Manchette ou du Daeninckx dans cette courte novella de littérature noire, avec quelques bonnes trouvailles comme le coup du type qui "parle au gars dans le miroir". Pas désagréable et très rapide à lire, assez récréatif, mais ça ne casse quand même pas trois pattes à un canard, ni dans le style ni dans le scénario, et la chute est assez improbable. À noter que dans la version que j'ai lue, il n'y avait que "journal d'un tueur sentimental", sans les autres histoires. Et... bon, le tueur, il est quand même pas si sentimental que ça, à vrai dire !
