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Critique de cacolaco
Cela fait longtemps que je lis du L.J. Shen et j'aime toujours autant ses romans.
J'avais adoré l'histoire des Sinners. Je me devais de continuer sur ma lancée avec l'histoire de leurs enfants.
Je n'ai pas lu les précédents tomes de la série All Saints High mais cela n'a pas du tout nui à ma compréhension du roman.
J'ai commencé par "Angry God" car j'ai été tentée par l'univers artistique dans lequel baigne le roman. L'histoire d'amour entre les deux protagonistes est au centre de celui-ci, mais j'ai beaucoup aimé retrouver l'art de la sculpture en fond.
Nos deux artistes torturés sont deux personnages très intéressants. L.J. Shen sait les façonner d'une main de maître, les rendre touchants et réalistes.
Vaughn Spencer est le digne héritier de son père. Aussi malicieux, sanguin, séduisant et je-m'en-foutiste que lui. On a envie de le haïr parfois. Mais l'autrice nous laisse apprécier une autre facette de cet artiste, un côté plus fragile, loin d'être méchant et talentueux. Et là, on n'a plus envie de le haïr.
On comprend Lenora Astalis, un personnage que j'ai tout autant apprécié. Elle me rappelait Emilia, qu'on retrouve dans "Vicious".
Les deux protagonistes de ce roman savent être réfléchis (même si cela leur arrive de déraper), une sorte de reflet de l'autrice.
Il faut aimer ce langage cru dont use L.J. Shen. Mais derrière les mots vulgaires et l'esprit direct de ses personnages, on sent une vraie réflexion, une façon de voir les choses intéressante.
J'ai vraiment apprécié ma lecture, et n'ai quitté ce roman que parce qu'il me fallait dormir.
J'avais adoré l'histoire des Sinners. Je me devais de continuer sur ma lancée avec l'histoire de leurs enfants.
Je n'ai pas lu les précédents tomes de la série All Saints High mais cela n'a pas du tout nui à ma compréhension du roman.
J'ai commencé par "Angry God" car j'ai été tentée par l'univers artistique dans lequel baigne le roman. L'histoire d'amour entre les deux protagonistes est au centre de celui-ci, mais j'ai beaucoup aimé retrouver l'art de la sculpture en fond.
Nos deux artistes torturés sont deux personnages très intéressants. L.J. Shen sait les façonner d'une main de maître, les rendre touchants et réalistes.
Vaughn Spencer est le digne héritier de son père. Aussi malicieux, sanguin, séduisant et je-m'en-foutiste que lui. On a envie de le haïr parfois. Mais l'autrice nous laisse apprécier une autre facette de cet artiste, un côté plus fragile, loin d'être méchant et talentueux. Et là, on n'a plus envie de le haïr.
On comprend Lenora Astalis, un personnage que j'ai tout autant apprécié. Elle me rappelait Emilia, qu'on retrouve dans "Vicious".
Les deux protagonistes de ce roman savent être réfléchis (même si cela leur arrive de déraper), une sorte de reflet de l'autrice.
Il faut aimer ce langage cru dont use L.J. Shen. Mais derrière les mots vulgaires et l'esprit direct de ses personnages, on sent une vraie réflexion, une façon de voir les choses intéressante.
J'ai vraiment apprécié ma lecture, et n'ai quitté ce roman que parce qu'il me fallait dormir.
