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Critique de som
Quatrième volet du cycle « L'ombre du chardon».
Fidèle à son dispositif littéraire maintenant bien connu de ses lecteurs, Aki Shimazaki relate en moins 150 pages les aventures d'un groupe de personnages en se plaçant successivement dans la peau de chacun d'entre eux. Seule la lecture complète permettra une vision globale de leur histoire commune.
« fuki-no-tô » s'attache aux personnages féminins d'Atsuko et de Fukiko. A la faveur d'une embauche de la seconde dans la ferme biologique de la première et d'un voyage de divertissement, les deux femmes se trouvent confrontées aux sentiments troubles de leur enfance, jusqu'alors effacés, et à leur résurgence dans leur vie d'adultes.
Entre le désir et la sécurité, la douceur d'une une vie conventionnelle et les blessures d'aspirations assumées, Atsuko et Fukiko tentent de trouver leurs propres réponses.
A la manière d'un haïku, Aki Shimazaki dévoile avec une économie de moyens et une élégance absolue, les tourments les plus intimes sous l'harmonie apparente de la surface.
Sa lecture est toujours et encore un petit moment de grâce.
Fidèle à son dispositif littéraire maintenant bien connu de ses lecteurs, Aki Shimazaki relate en moins 150 pages les aventures d'un groupe de personnages en se plaçant successivement dans la peau de chacun d'entre eux. Seule la lecture complète permettra une vision globale de leur histoire commune.
« fuki-no-tô » s'attache aux personnages féminins d'Atsuko et de Fukiko. A la faveur d'une embauche de la seconde dans la ferme biologique de la première et d'un voyage de divertissement, les deux femmes se trouvent confrontées aux sentiments troubles de leur enfance, jusqu'alors effacés, et à leur résurgence dans leur vie d'adultes.
Entre le désir et la sécurité, la douceur d'une une vie conventionnelle et les blessures d'aspirations assumées, Atsuko et Fukiko tentent de trouver leurs propres réponses.
A la manière d'un haïku, Aki Shimazaki dévoile avec une économie de moyens et une élégance absolue, les tourments les plus intimes sous l'harmonie apparente de la surface.
Sa lecture est toujours et encore un petit moment de grâce.
