Croustillantes, réjouissantes, un régal, ces nouvelles, vraiment un coup de coeur : on retrouve toute la cruauté d'
Il faut qu'on parle de Kévin et de
Tout ça pour quoi, avec des dialogues ciselés, un second degré, une impertinence et un humour qui me rendent inconditionnel de cette auteure qui a choisi, rappelons-le, un prénom masculin pour dénoncer les plus grandes facilités faites aux hommes dans cette société qu'elle dépeint si parfaitement.
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